Quatrième de couverture :
Le coup de coeur des Paresseux :
Un amour passionnel unit Maddy et Dalt depuis leur première descente en rafting. Loin d’être un conte de fées, « les veinards » comme ils s’appellent nous transportent dans leur amour inconditionnel et absolu malgré les épreuves de la vie. L’écriture réaliste et intense que nous propose Pete Fromm permet de respirer à pleins poumons ce que la vie à de plus beau et de plus terrible à offrir à la fois. On ressort de cette lecture en se disant que la vraie force, la seule qui nous donne tout le courage du monde c’est bien l’amour.
Le coup de coeur des Paresseux :
Le 1er tome d’une série uchronique où des mafieux et gangsters sont plongés dans une histoire franco-algérienne que l’on n’osait pas imaginer… Politique, science-fiction et uchronie : un cocktail rarement vu en romans graphiques, soutenu par une narration très dynamique séquencée en courtes scènes.
Le coup de coeur des Paresseux :
Un livre plein de poésie et une ode à la nature qui se déroule dans les marais de Caroline du Nord dans les années 60 et 70. On suit en parallèle une enquête pour meurtre et l’évolution de Kya, une jeune fille qui grandit seule en marge de la société en apprenant de la faune qui l’environne. L’autrice est une zoologiste américaine qui rend les paysages de ces marais lumineux comme des lucioles en contradiction avec la société de l’époque et la violence de la ségrégation et des préjugés.
Le coup de coeur des Paresseux :
Le mythique duo de Tyler Cross se reforme pour nous plonger au cœur d’un mythe 100% US : Chris Kyle, le sniper le plus létal de toute l’histoire de l’armée américaine, et véritable incarnation du mythe outre-Atlantique.
Ce roman graphique interroge la place des armes, de la violence et du patriotisme dans la culture américaine. Les dessins de Brüno illustrent à merveille l’ambivalence du « héros », entre icône et caricature, qui nous fait osciller entre fascination et répulsion tout au long de sa lecture.
Le coup de coeur des Paresseux :
Ce roman inspiré par une affaire de viol à Stanford aux Etats-Unis, évoque la délicate question du consentement et de la “zone grise” qui peut parfois rendre compliqué un jugement juste et éclairé. En nous faisant vivre le procès de cette affaire, Karine Tuil nous questionne sur le traitement des victimes de viol, les rapports de forces inhérents à nos sociétés et la médiatisation de la justice à l’heure des réseaux sociaux avec en toile de fond le mouvement #metoo. Un livre qui reflète avec finesse notre époque et que vous aurez du mal à lâcher !
Prix Interallié et Goncourt des lycéens 2019