Cher connard – V.Despentes

22,00 € TTC

Le coup de coeur des Paresseux :

Ce texte commence comme un coup de poing. Sous la forme épistolaire, les deux personnages principaux échangent sur leurs névroses, leurs peurs et leurs addictions. On ne s’imagine pas qu’ils vont pouvoir être amis et pourtant tout est dans le titre “Cher connard”. Un mélange aigre-doux qui aborde de nombreux sujets de société : le féminisme post me-too, la violence des réseaux sociaux, le confinement, la fuite, l’acceptation de soi et finalement l’amitié. Virginie Despentes a le sens des formules et ce livre est une chronique de notre époque qu’on reçoit en pleine face.

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Description

Quatrième de couverture :

C’est une suite de lettres entre amis qui se sauvent la vie. Dans ce roman épistolaire, Virginie Despentes revient sur le thème qui unit tous ses livres – comment l’amitié peut naître entre personnes qui n’ont à priori rien à faire ensemble.
Rebecca a dépassé la cinquantaine, elle est actrice, elle est toujours aussi séduisante. Oscar a quarante-trois ans, il est un auteur un peu connu, il écoute du rap en essayant d’écrire un nouveau livre. Ils sont des transfuges de classe que la bourgeoisie n’épate guère. Ils ont l’un comme l’autre grandi et vieilli dans la culture de l’artiste défoncé tourmenté et sont experts en polytoxicomanie, mais pressentent qu’il faudrait changer leurs habitudes. Zoé n’a pas trente ans, elle est féministe, elle ne veut ni oublier ni pardonner, elle ne veut pas se protéger, elle ne veut pas aller bien. Elle est accro aux réseaux sociaux – ça lui prend tout son temps.
Ces trois-là ne sont pas fiables. Ils ont de grandes gueules et sont vulnérables, jusqu’à ce que l’amitié leur tombe dessus et les oblige à baisser les armes.